Blagues Juives XI

Un journaliste interroge Abraham, âgé de 99 ans :
- J’espère vous revoir à l'occasion de votre centième anniversaire.
- Si D.ieu veut, si D.ieu veut. Vous semblez avoir une si bonne santé !

Deux amis sont invités à une bar-mitsva.
- Dis moi Moché, qu'est ce que tu penses offrir au jeune bar-mitsva ?
- Un beau livre de torah, et toi Chlomo ?
- Un parapluie.
- Un parapluie, pourquoi un parapluie ?
- Contrairement à ton livre, le parapluie au moins, il a une chance qu'il l'ouvre un jour.

Une belle-mère juive taquine son gendre en lui demandant quand est ce qu'il pense qu'elle va mourir.
- Ça arrivera une veille de fête.
- La veille de Pessah, de Chavouot ou de Soukot ?
- Non, celle que je fêterai le lendemain de votre disparition...

Yacov est tout content ce matin, et son ami Chimon lui demande la raison de sa joie.
- Je viens de faire assurer mon magasin contre l'incendie et contre la grêle.
- Contre l'incendie, je comprends, mais comment feras tu pour faire tomber la grêle ?

Issac s'approche d'un kiosque et voit un écriteau sur des cacahuètes "interdit aux juifs".
Surpris et prêt à exploser de colère, il reconnait le vendeur qui est un fidèle de sa synagogue. Il lui dit alors :
- Tu n'as pas honte d'avoir mis un tel écriteau après tout ce que nous avons vécu durant la guerre !
- Tais toi, Issac... tu as déjà goûté à mes cacahuètes ?

Un aubergiste Autrichien dit à un couple de juif :
- Ici, nous n'acceptons pas les juifs.
- Nous ne sommes pas juifs, mais chrétiens.
- Si vous dites que vous n’êtes pas juifs, dites moi alors qui est le fils
de D.ieu ?
- C'est Jésus et il est né dans une étable à Bethléem.
- Pourquoi est il né dans une étable ?
- A cause d'un sale type comme vous, qui n'a pas voulu louer une chambre à des juifs.

Moché dit à sa femme Sarah qu'il est dans l'obligation de licencier le chauffeur, car à quatre reprises, il a failli le tuer.
Sarah, toujours aussi généreuse, lui demande alors de lui laisser encore... une dernière chance.

Un homme s'adresse au responsable de la poste de Tel Aviv :
- Je désire déposer plainte, car depuis plusieurs jours, je reçois des lettres de menaces.
- C'est très grave, c'est même un délit. Savez vous qui peut vous les avoir expédier ?
- Oui... elles viennent toutes du service des impôts.

Un mendiant juif est assis à même le sol, et a placé devant lui deux soucoupes.
Un passant l'interroge :
- Pourquoi deux soucoupes ? Une seule aurait suffi !
- Je viens d'ouvrir une succursale.

-  Pourquoi avez vous besoin de 3 paires de lunettes, monsieur
le rabbin ?
- Une pour voir de prés, l'autre pour voir de loin, et la troisième... pour chercher les 2 autres.

Moché raconte à son ami que le pauvre Itsrak est désormais obligé de subvenir au besoin de deux femmes.
- Pourquoi, est il bigame ?
- Non, son fils vient de se marier...

Un rabbin interrompt son discours à la synagogue, et s'adresse aux fidèles :
- Que vous regardez vos montres pendant que je parle passe encore, mais que vous les portiez à vos oreilles pour vérifier qu'elles ne se sont pas arrêtées, ça m'irrite...

Un juif religieux marche dans la rue, tout en méditant sur un passage biblique. Il perd l'équilibre en trébuchant sur un caillou, se rattrape juste à temps, et se cogne la tête sur un poteau. Il bénît alors le ciel pour ce caillou qui l'a évité de se blesser.
Il reprend ses prières et percute un autre poteau, au moment ou il allait heurter une femme enceinte. Il bénît alors le ciel pour ce poteau qui l'a évité de blesser cette femme enceinte.
Un peu plus tard, toujours absorbé par ses recueillements, il reçoit une défécation d'oiseau sur le front. Il lève à nouveau les yeux vers le ciel, et remercie le Maître du monde de n'avoir pas donné...  aux vaches et aux chevaux des ailes.

Moché est opprimé par sa femme.
A l'occasion du chabatt, celle ci allume les bougies en les bénissant.
Moché reproche alors à son épouse de bénir les bougies, et en ce qui le concerne, de le maudire en permanence.
Elle lui répond d'un air méchant :
- Quand je te verrai brûler comme ces bougies, je te bénirai toi aussi.

Yaacov répond à une annonce d'emploi, offrant un travail à un bûcheron expérimenté.
- Avez vous de l'expérience ?
- Bien sur.
- Ou avez vous travaillé jusqu'à présent ?
- Au Sahara.
- Mais il n'y a pas d'arbre au Sahara.
- Ben justement, dites qu'il n'y en a plus.

- Réouven, je n'ai toujours pas reçu le chèque que tu devais m'envoyer.
- Comment,  tu ne l'a pas encore reçu !
- Non.
- Il va surement bientôt arrivé.
- Mais ça fait plus de 3 mois.
- Bon...  je te l'envoie aujourd'hui même.

Un curé interroge un rabbin :
- Pourquoi, vous les juifs, vous hâtez vous de marier vos filles des qu'elles sont en age de se marier ?
- Parce qu'il y a bien longtemps, une de nos filles, Marie, qu'on a tardé à marier, nous a causé bien des soucis...

Ce même curé demande au rabbin de faire un don pour la construction de sa nouvelle église. 
Ce dernier lui répond qu'il est impossible d'y participer, mais se dit prêt à accorder une donation pour la destruction de la vieille église.

Deux mendiants sont assis à la sortie de l'église. L'un deux a une croix, et l'autre une étoile de David. Apres la messe, les fidèles ne donnent qu'à celui qui porte une croix. Alors arrive le prêtre, qui s'adresse au mendiant portant l'étoile de David :
- J'observe cher monsieur que votre assiette est vide. Vous feriez mieux de porter une croix représentant notre seigneur.
Le mendiant juif s'adresse à son collègue :
- Yaacov, tu as entendu ce que le curé vient nous dire. Il a la prétention de nous apprendre notre métier...

Deux élèves de Yéchiva se demandent si leur rabbi peut les autoriser à fumer.
Le premier pose la question au rabbin et revient bredouille.
Le deuxième revient avec une réponse favorable. Surpris, le premier demande au second un éclaircissement. Le jeune dit à son camarade qu'il a demandé que si, quand on fume, on pouvait continuer à étudier le talmud.
Le rabbi a alors répondu que bien sur, on pouvez étudier la torah à tout instant.

Ruth annonce à son père qu'elle a enfin rencontré l'homme avec qui, elle souhaite fonder une famille.
- Est il juif, au moins ? demande le père.
- Non, mais il est prêt à se convertir.
Le père rencontre le jeune homme, qui se met à fréquenter les rabbins, et les collels (instituts talmudiques). Puis il se rend en Israël et se convertit auprès d'un rabbin orthodoxe.
De retour en France, Ruth lui demande de fixer une date pour leur mariage.
- Tu n'y penses pas ! Tu ne me crois tout de même pas capable de me marier avec une jeune fille qui, il n'y a pas longtemps, était prête à épouser un goy !

- Oy, oy, oy ! Quel malheur, madame Benhamou ! Mon fils vient de divorcer.
- Oy, oy, oy ! madame Benchétrit ! Mon fils aussi, il n'a pas eu de chance. Il a raté par deux fois, son mariage: la première fois, sa femme est partie, et la deuxième fois, elle ... est restée.

Une mère juive a enregistré un message sur sa boite vocale :
Si vous voulez la recette du couscous, tapez 1
Si vous voulez celle du géfilté fish, tapez 2
Si vous voulez des beignets, tapez 3
Pour tout autre demande, tapez 4

Le baron de Rothschild est accompagné à sa dernière demeure. Devant son cercueil, un vieux juif barbu pleure à chaude larme.
- Pourquoi pleurez vous, grand père ? Vous n’êtes pourtant pas de la famille !
- Bah, c'est ... justement pour ça, que je pleure.

Dans les rues d'une grande ville, un juif cherche un restaurent casher. Il en trouve un, à l'entrée duquel est posé un grand portrait de Moise. L'homme interroge le propriétaire du restaurent :
- Chalom, est ce que c'est casher chez vous ?
- Bien sur. Comment oses tu demander si mon restaurent est casher, alors que j'ai le portrait de Moise ?
- Ben justement, je ne vous aurez pas posé la questions si c'était Moise qui recevait, et que votre portrait était accroché à l'entrée.

Petite blague sur Soukot:
Monsieur Elie Bensimon aménage dans son nouvel appartement, quelques jours avant Souccot.
Un matin, un voisin de l’immeuble fait irruption dans le Cabinet du Syndic, en hurlant qu'il y a des Zoulous qui ont aménagé dans l'immeuble, et sur leur terrasse, ils ont installé une cabane faite de feuillages…
Le Syndic téléphone et appelle Maître Chemla, l’avocat de la copropriété et le somme d’intervenir auprès de ce nouvel arrivant afin qu’il respecte le règlement de copropriété et qu’il démonte cette installation…
Une demi heure après, le téléphone sonne dans le bureau du syndic:
- C’est Maître Chemla à l’appareil, j’ai contacté Monsieur Bensimon, qui a l’air d’être un Monsieur très raisonnable; il s’est engagé a démonter sa cabane dans huit jours.
- Bravo et Merci Maître…









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